Montrer que l'on entend la demande
Un " non " peut être entendu comme une position de principe. Avant de le
formuler, il importe de signifier à notre interlocuteur que l'on a
compris son attente, sa priorité. Il doit sentir
que le «refus» ou la nouvelle proposition n'est pas de la
désinvolture ou du mépris.
Faire la part du « oui » et du « non »
S'il est important de maintenir avec notre interlocuteur des relations
de qualité, alors une certaine souplesse s'impose : "oui pour…" et "non
pour…".
Donc repérer rapidement ce que l'on peut faire ou non, donner
les conditions dans lesquelles on peut le faire : "oui pour t'apporter
la réponse mais demain." ou "je peux t'apporter une
réponse aujourd'hui mais sur tel et tel point, pas sur...".
Rester ferme sur la solution proposée
Une fois la proposition faite, inutile de se justifier mais s'y tenir.
En sortant du " oui inconditionnel ", on amène notre
interlocuteur à respecter nos priorités et notre agenda. C'est
finalement une façon d'éduquer notre entourage en douceur.